J’admirais un jour le plumage
D’un bel oiseau dans le feuillage
Bien lisse, et très brillant
Comme on en voit que rarement
À voir le jaune de sa couleur
Il était sûrement un beau reproducteur
Puis, en le regardant je me disais
Il est comme les hommes, tout à fait
Cet oiseau veut impressionner
Il aime qu’on veuille le regarder
Jeune, il est un peu fanfaron
Il aime, créer de l’agitation
Plus tard, en prenant de l’âge
Il devient, juste un peu plus sage
Mais il sera toujours un prétendant
Sera aussi charmeur malgré les ans
Il rafraîchira toujours son image
Comme l’oiseau fait pour son plumage
Enfin, il demeurera toujours en vogue
Il y aura toujours des ornithologues
Texte Claude Marcel Breault
D’un bel oiseau dans le feuillage
Bien lisse, et très brillant
Comme on en voit que rarement
À voir le jaune de sa couleur
Il était sûrement un beau reproducteur
Puis, en le regardant je me disais
Il est comme les hommes, tout à fait
Cet oiseau veut impressionner
Il aime qu’on veuille le regarder
Jeune, il est un peu fanfaron
Il aime, créer de l’agitation
Plus tard, en prenant de l’âge
Il devient, juste un peu plus sage
Mais il sera toujours un prétendant
Sera aussi charmeur malgré les ans
Il rafraîchira toujours son image
Comme l’oiseau fait pour son plumage
Enfin, il demeurera toujours en vogue
Il y aura toujours des ornithologues
Texte Claude Marcel Breault