je ne suis qu'une herbe
animée par le vent d'est
souffleur d'éphémères
sous le doux vent d'est
une harmonie de chouette
réveille la lune.
vendredi 25 novembre 2011
jeudi 24 novembre 2011
ma maison d'être
Il ne me restera rien des baisers, des soupirs,
C'est lorsque ma maison qui ne veut plus paraître
Esseulée et triste, devient ma raison d'être
Chercher en vain les souvenirs perdus
Mais qu'elle garde en son sein, maison chérie
Maison aimée,se rappelant l'image de ceux
Quelle ne reverra plus, qu'elle n'a pu retenir,
Qui sont partis au loin
Je serai devenue celle qui veille,
La sentinelle des jours heureux
Et ma maison m'accueille avec tous les miens
Arrêter la machine à penser ?
Il ne restera rien des étreintes enflammées
Qu’un peu de cendre chaude sous un peu de fumée.
Il ne restera rien des aveux murmurés
Dont on écoute en vain le retour attendri.
Il ne restera rien des émotions passées
Qu’un souvenir si froid, qu’un écho dans la nuit,
De deux ombres enlacées ;
Avec le temps, tout s’évanouit.
Pour ne pas oublier la gravité des choses,
Cachant dans la splendeur et l’éclat du matin
Un soupçon d’amertume, une once de chagrin
Comment il a suffit de la débrancher !!
tout simplement.............
Inéluctablement
frustrée, je m'en irai coucher
de ne pas avoir su...........
PS- ma maison vient d'être vendue avec une partie de ma vie, j'y ai vécu des jours heureux mais aussi la mort de mon compagnon, il faut maintenant tourner la page, c'est le plus difficile
C'est lorsque ma maison qui ne veut plus paraître
Esseulée et triste, devient ma raison d'être
Chercher en vain les souvenirs perdus
Mais qu'elle garde en son sein, maison chérie
Maison aimée,se rappelant l'image de ceux
Quelle ne reverra plus, qu'elle n'a pu retenir,
Qui sont partis au loin
Je serai devenue celle qui veille,
La sentinelle des jours heureux
Et ma maison m'accueille avec tous les miens
Arrêter la machine à penser ?
Il ne restera rien des étreintes enflammées
Qu’un peu de cendre chaude sous un peu de fumée.
Il ne restera rien des aveux murmurés
Dont on écoute en vain le retour attendri.
Il ne restera rien des émotions passées
Qu’un souvenir si froid, qu’un écho dans la nuit,
De deux ombres enlacées ;
Avec le temps, tout s’évanouit.
Pour ne pas oublier la gravité des choses,
Cachant dans la splendeur et l’éclat du matin
Un soupçon d’amertume, une once de chagrin
Comment il a suffit de la débrancher !!
tout simplement.............
Inéluctablement
frustrée, je m'en irai coucher
de ne pas avoir su...........
PS- ma maison vient d'être vendue avec une partie de ma vie, j'y ai vécu des jours heureux mais aussi la mort de mon compagnon, il faut maintenant tourner la page, c'est le plus difficile
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dix neuf ans déjà que Jean-Claude a rejoint mes enfants dans l'au-delà et j'irai bientôt les rejoindre, dommage que notre dernière demeure est squattée par la famille qui s'y trouve pour ne pas avoir eu besoin de financer .........une tombe plus quelconque. Tant pis, tous les quatre nous serons en dessus et personne ne pourra plus nous déloger ON NE CHOISIT PAS SA FAMILLE (les malfaiteurs associés )
dimanche 20 novembre 2011
LES OGM PEUVENT TUER
Lettre ouverte
Objet : demande de de création d’une commission d'enquête parlementaire à propos des OGN
Madame le Député,
Je vous écris en tant que bénévole d'une Association "3 H " qui oeuvre en Inde (Kalapet) où le problème des O G M est très préoccupant.
A l’heure où notre quotidien est perturbé par un dérèglement climatique sans précédant et que plus personne ne met en doute l’influence humaine, les questions environnementales s’imposent à nous tous dans notre quotidien et il me semble incontournable que ces questions soient aussi dans les débats politiques.
Le nombre des conférences et divers débats aident à avoir un ordre d’idées, par exemple celui-ci:
http://www.terre.tv/fr/241_planete-en-danger
L’une des questions auxquelles nous sommes affrontés sont les OGM où il semble y avoir principalement trois conséquences:
1) Ecologiques
2) Sanitaires
3) Economiques
3) L’angle qui me touche le plus est certainement l’aspect économique sur lequel, il semble ne plus y avoir de doute.
http://www.dailymotion.com/video/k53bYNrM1WAtke5et5?start=24#from=embed
2) L’aspect sanitaire prête à plus de controverse mais il semble y avoir un faisceau de présomptions plus que suffisants pour avoir un doute raisonnable à ce propos.
1) Quand à l’aspect écologique on commence a constater un certain nombre d’effets indésirables qu’il est difficile d’évaluer comme la dégénérescence de certains végétaux ou les abeilles qui ont de sérieux problèmes, dont il est difficile d’évaluer les conséquences et les causes précises.
Certains documentaires attirent notre attention sur cette réalité inquiétante:
(entre autres) - Le monde selon Monsanto
http://video.google.fr/videoplay?docid=-8723985684378254371&ei=J7FuSuKVI5LV-AbGzZzjDg&hl=fr
A certains endroits dans le monde, il commence à y avoir des procès contre les abus de certaines grandes entreprises, comme par exemple celui-ci:
Monsanto poursuivi pour “biopiraterie” par l’Inde
http://www.energie-sante.net/bn/?p=554
Au vue des faits et divers faisceaux de présomption, il ne serait pas surprenant de voir la “pollution génétique” devenir un délit répréhensible dans nos démocraties.
Ont ne peut que constater qu’il y a un vrai problème éthique dans le brevetage du vivant.
Les chercheurs font leur travail avec passion dans leurs laboratoires, mais on ne peut leur demander de prendre des décisions en ce qui concerne les problèmes éthiques ou les conséquences de leurs découvertes quand elles sortent de leurs laboratoires. C’est pourquoi, il semble utile de faire un travail constructif à ce propos.
Certes il y a de grands progrès grâce a l’avancée des technologies et il est hors de question de retourner à l’éclairage à la bougie, mais il convient certainement d’examiner ce problème par une commission parlementaire qui serait équilibré avec toutes les sensibilités politiques représentées, pour que l'analyse soit la plus juste et incontestable possible.
Il ne fait aucun doute que les divers thèmes de l'environnement seront incontournables aux prochaines échéances électorales, c’est pourquoi, il serait utile d’avoir au moins un premier “état des lieux” pour que l’on arrête de parler de décroissance, terme qui sort de je ne sais où et dont personne ne sait donner une signification précise et que l’on puisse parler “d’évolution positive” à propos des thèmes environnementaux dont celui des OGM ou le seul avis réaliste que l’on peut avoir pour le moment c’est : situation préoccupante.
En souhaitant que cette rentrée parlementaire soit favorable à la mise en œuvre d’un travail constructif dans une commission parlementaire au sujet des OGM et leurs conséquences.
Je vous prie d'agréer, Madame le Député, l'expression de mes sentiments distingués.
Marie Monnier
Objet : demande de de création d’une commission d'enquête parlementaire à propos des OGN
Madame le Député,
Je vous écris en tant que bénévole d'une Association "3 H " qui oeuvre en Inde (Kalapet) où le problème des O G M est très préoccupant.
A l’heure où notre quotidien est perturbé par un dérèglement climatique sans précédant et que plus personne ne met en doute l’influence humaine, les questions environnementales s’imposent à nous tous dans notre quotidien et il me semble incontournable que ces questions soient aussi dans les débats politiques.
Le nombre des conférences et divers débats aident à avoir un ordre d’idées, par exemple celui-ci:
http://www.terre.tv/fr/241_planete-en-danger
L’une des questions auxquelles nous sommes affrontés sont les OGM où il semble y avoir principalement trois conséquences:
1) Ecologiques
2) Sanitaires
3) Economiques
3) L’angle qui me touche le plus est certainement l’aspect économique sur lequel, il semble ne plus y avoir de doute.
http://www.dailymotion.com/video/k53bYNrM1WAtke5et5?start=24#from=embed
2) L’aspect sanitaire prête à plus de controverse mais il semble y avoir un faisceau de présomptions plus que suffisants pour avoir un doute raisonnable à ce propos.
1) Quand à l’aspect écologique on commence a constater un certain nombre d’effets indésirables qu’il est difficile d’évaluer comme la dégénérescence de certains végétaux ou les abeilles qui ont de sérieux problèmes, dont il est difficile d’évaluer les conséquences et les causes précises.
Certains documentaires attirent notre attention sur cette réalité inquiétante:
(entre autres) - Le monde selon Monsanto
http://video.google.fr/videoplay?docid=-8723985684378254371&ei=J7FuSuKVI5LV-AbGzZzjDg&hl=fr
A certains endroits dans le monde, il commence à y avoir des procès contre les abus de certaines grandes entreprises, comme par exemple celui-ci:
Monsanto poursuivi pour “biopiraterie” par l’Inde
http://www.energie-sante.net/bn/?p=554
Au vue des faits et divers faisceaux de présomption, il ne serait pas surprenant de voir la “pollution génétique” devenir un délit répréhensible dans nos démocraties.
Ont ne peut que constater qu’il y a un vrai problème éthique dans le brevetage du vivant.
Les chercheurs font leur travail avec passion dans leurs laboratoires, mais on ne peut leur demander de prendre des décisions en ce qui concerne les problèmes éthiques ou les conséquences de leurs découvertes quand elles sortent de leurs laboratoires. C’est pourquoi, il semble utile de faire un travail constructif à ce propos.
Certes il y a de grands progrès grâce a l’avancée des technologies et il est hors de question de retourner à l’éclairage à la bougie, mais il convient certainement d’examiner ce problème par une commission parlementaire qui serait équilibré avec toutes les sensibilités politiques représentées, pour que l'analyse soit la plus juste et incontestable possible.
Il ne fait aucun doute que les divers thèmes de l'environnement seront incontournables aux prochaines échéances électorales, c’est pourquoi, il serait utile d’avoir au moins un premier “état des lieux” pour que l’on arrête de parler de décroissance, terme qui sort de je ne sais où et dont personne ne sait donner une signification précise et que l’on puisse parler “d’évolution positive” à propos des thèmes environnementaux dont celui des OGM ou le seul avis réaliste que l’on peut avoir pour le moment c’est : situation préoccupante.
En souhaitant que cette rentrée parlementaire soit favorable à la mise en œuvre d’un travail constructif dans une commission parlementaire au sujet des OGM et leurs conséquences.
Je vous prie d'agréer, Madame le Député, l'expression de mes sentiments distingués.
Marie Monnier
vendredi 18 novembre 2011
jeudi 17 novembre 2011
la rose et l'araignée
La rose, et la petite araignée, fin de saison
Une petite rose, mouillée, par la rosée frissonne, esseulée.
Ses amies les roses, ont été emportées par un vent violent.
Et leurs pétales se sont envolés, au milieu de l’allée.
Formant une corolle multicolore, et laissant une senteur de parfum
léger.
La rose écoute le chant du vent, cherchant une petite mélodie,
pour lui tenir compagnie.
Mais le vent fatigué préfère aller se coucher, n’ayant pas de
sentiment pour la rose restante, qui doucement s’est redressé,
ayant été courbée par le vent.
Un rayon de soleil, timidement apparaît voulant réchauffer la
rose et la consoler.
Mais soudain, le soleil disparaît, caché par un nuage qui s’est
formé.
Laissant la rose, qui s’est repliée, pour garder le peu de chaleur
qu’elle a accumulé.
Elle espère, en fermant les yeux, trouver un peu de réconfort, en
rêvant des temps meilleurs, ou le chant des oiseaux, et la mélodie
des grillons, la nuit l’on berçait, elle et ses amies.
Une petite larme, perlant de ses paupières closes, doucement
s’est glissée au sol, réveillant une petite araignée cachée sous
une feuille, qui s’était mise à l’abri des intempéries.
La petite araignée n’appréciant pas d’être dérangée, sortit de
son abri, et délicatement sentit une présence, et curieuse, elle se
faufila sur les branches du rosier, atteignant le sommet, ou la
rose dormait.
Trouvant la rose si belle, elle se blottit contre elle, et cette douceur
de velours lui convenant, la petite araignée s’endormit à
côté de sa nouvelle amie, qui sentit sa présence.
Et toutes deux pelotonnés, n’auront plus peur des intempéries.
Car l’amitié d’une rose et d’une araignée, montre que dans la
vie, l’amour et la tendresse,
Et que les différences sont bannies
Une petite rose, mouillée, par la rosée frissonne, esseulée.
Ses amies les roses, ont été emportées par un vent violent.
Et leurs pétales se sont envolés, au milieu de l’allée.
Formant une corolle multicolore, et laissant une senteur de parfum
léger.
La rose écoute le chant du vent, cherchant une petite mélodie,
pour lui tenir compagnie.
Mais le vent fatigué préfère aller se coucher, n’ayant pas de
sentiment pour la rose restante, qui doucement s’est redressé,
ayant été courbée par le vent.
Un rayon de soleil, timidement apparaît voulant réchauffer la
rose et la consoler.
Mais soudain, le soleil disparaît, caché par un nuage qui s’est
formé.
Laissant la rose, qui s’est repliée, pour garder le peu de chaleur
qu’elle a accumulé.
Elle espère, en fermant les yeux, trouver un peu de réconfort, en
rêvant des temps meilleurs, ou le chant des oiseaux, et la mélodie
des grillons, la nuit l’on berçait, elle et ses amies.
Une petite larme, perlant de ses paupières closes, doucement
s’est glissée au sol, réveillant une petite araignée cachée sous
une feuille, qui s’était mise à l’abri des intempéries.
La petite araignée n’appréciant pas d’être dérangée, sortit de
son abri, et délicatement sentit une présence, et curieuse, elle se
faufila sur les branches du rosier, atteignant le sommet, ou la
rose dormait.
Trouvant la rose si belle, elle se blottit contre elle, et cette douceur
de velours lui convenant, la petite araignée s’endormit à
côté de sa nouvelle amie, qui sentit sa présence.
Et toutes deux pelotonnés, n’auront plus peur des intempéries.
Car l’amitié d’une rose et d’une araignée, montre que dans la
vie, l’amour et la tendresse,
Et que les différences sont bannies
en voiture Simone !!
- Regarde cet homme Simone, et cette femme qu'il vient de croiser. Leurs âmes o...nt compris qu'elles étaient faites l'une pour l'autre, et elles dessinent sur les lignes d'une partition imaginaire, les notes d'une symphonie qu'ils n'entendront jamais, endormis par la fatigue de ne plus y croire. Ils sont souverains dans leur solitude, et pourtant, il mourra peut-être, comme Brel le chantait, d'avoir été ce roi mort de n'avoir pas pu la rencontrer...
- Ne me quitte pas Raoul, jamais...
- Aucune chance ma chérie, nos coeurs se sont projetés sur nos ombres dès qu'elles ont entamé cette même valse. Une valse à mille temps. Même au plus profond de la nuit, j'aurais vu ton ombre. Et aujourd'hui, je ne veux toujours qu'une seule chose, que tu me laisses l'inégalable plaisir d'être l'ombre de ton ombre, l'ombre de ta main, l'ombre de ton chien...
- De quoi tu parles Raoul ? Je n'ai pas de chien !
- Je citais Brel...
- Oui, bah tu t'arrêtes là niveau citation, parce que si tu me fais le coup du volcan qu'on croyait trop vieux pour voir rejaillir son feu, je vais aller voir les marins qui boivent aux dames, celles qui leur donnent leur joli corps et leur vertu !
- Ne me quitte pas Simone...
- Je citais Brel ! Mais non mon chou, évidemment que je ne te quitterai pas... Et puis tu as raison finalement, on me dit souvent que j'ai du chien, alors si tu veux être l'ombre de cette brûlante qualité, ça nous fera un peu d'air frais, et si j'ai trop chaud, je viendrai te rejoindre...
- Je ferai un domaine où l'amour sera roi, et où tu seras reine...
- Faudrait déjà qu'on ait fini de payer la maison ! Allez arrête de rêver chéri, et va plutôt prévenir Madame que le coeur de Monsieur l'invite à valser
- Ne me quitte pas Raoul, jamais...
- Aucune chance ma chérie, nos coeurs se sont projetés sur nos ombres dès qu'elles ont entamé cette même valse. Une valse à mille temps. Même au plus profond de la nuit, j'aurais vu ton ombre. Et aujourd'hui, je ne veux toujours qu'une seule chose, que tu me laisses l'inégalable plaisir d'être l'ombre de ton ombre, l'ombre de ta main, l'ombre de ton chien...
- De quoi tu parles Raoul ? Je n'ai pas de chien !
- Je citais Brel...
- Oui, bah tu t'arrêtes là niveau citation, parce que si tu me fais le coup du volcan qu'on croyait trop vieux pour voir rejaillir son feu, je vais aller voir les marins qui boivent aux dames, celles qui leur donnent leur joli corps et leur vertu !
- Ne me quitte pas Simone...
- Je citais Brel ! Mais non mon chou, évidemment que je ne te quitterai pas... Et puis tu as raison finalement, on me dit souvent que j'ai du chien, alors si tu veux être l'ombre de cette brûlante qualité, ça nous fera un peu d'air frais, et si j'ai trop chaud, je viendrai te rejoindre...
- Je ferai un domaine où l'amour sera roi, et où tu seras reine...
- Faudrait déjà qu'on ait fini de payer la maison ! Allez arrête de rêver chéri, et va plutôt prévenir Madame que le coeur de Monsieur l'invite à valser
mercredi 16 novembre 2011
UN SOURIRE
Un sourire,
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne,
Il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel,
Personne n'est assez riche pour s'en passer,
Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter,
Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires,
Il est le signe sensible de l'amitié,
Un sourire donne du repos à l'être fatigué,
Donne du courage au plus découragé
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler,
Car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne.
Et si toutefois, vous rencontrez quelqu'un qui ne sait plus sourire,
Soyez généreux donnez-lui le vôtre,
Car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.
Raoul Follereau
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne,
Il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel,
Personne n'est assez riche pour s'en passer,
Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter,
Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires,
Il est le signe sensible de l'amitié,
Un sourire donne du repos à l'être fatigué,
Donne du courage au plus découragé
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler,
Car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne.
Et si toutefois, vous rencontrez quelqu'un qui ne sait plus sourire,
Soyez généreux donnez-lui le vôtre,
Car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.
Raoul Follereau
LE VEILLEUR D'AMES
le fracas du quotidien
La pluie bruyante du train train,
Je serais toujours près de toi
Ouvre juste les yeux, me voilà
Qu'importe ces coureurs de sens
Aux taches emmagasinés qui s'élancent
comme une urgence de vie et de mort
Et laisse les autres à leur propre sort
Je serais donc le veilleur de l'ame
La respiration du temps, le sésame
Celui que l'on moque pour sa naiveté
Mais quand l'angoisse vient, qu'on sait trouver
N'ai crainte d'une quelconque solitude
Même lorsque l'absence devient habitude
Qu'importe, regarde dans les profondeurs
Dieu s'y trouve, blottit dans ton coeur
La pluie bruyante du train train,
Je serais toujours près de toi
Ouvre juste les yeux, me voilà
Qu'importe ces coureurs de sens
Aux taches emmagasinés qui s'élancent
comme une urgence de vie et de mort
Et laisse les autres à leur propre sort
Je serais donc le veilleur de l'ame
La respiration du temps, le sésame
Celui que l'on moque pour sa naiveté
Mais quand l'angoisse vient, qu'on sait trouver
N'ai crainte d'une quelconque solitude
Même lorsque l'absence devient habitude
Qu'importe, regarde dans les profondeurs
Dieu s'y trouve, blottit dans ton coeur
LOIN DE TOI
Loin de toi, mes yeux ne voient que du gris
Loin de toi, le bonheur à moi se refuse
Loin de toi, je suis aveugle et meurtri
Loin de toi, mon courage se corrode et s'use
Loin de toi, le bonheur à moi se refuse
Loin de toi, je suis aveugle et meurtri
Loin de toi, mon courage se corrode et s'use
L'ENCRE DE MES YEUX
L'encre de tes yeux
Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on n'est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.
Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
A trop vouloir te regarder,
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté.
Tu viendras longtemps marcher dans
mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.
Francis CABREL
Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on n'est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.
Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
A trop vouloir te regarder,
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté.
Tu viendras longtemps marcher dans
mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.
Francis CABREL
TRAHISON
J'ai... fermé mes yeux pour...
ouvrir mes plaies j'ai...
fait de l'ombre à ma lumière j'ai...
ouvert mes yeux sur...
ce qu'on appelle "la vie", j'ai...
plongé dans ce gouffre qu'on appelle "tristesse" pour...
en sortir de nouveaux mots de tendresses, j'ai...
apprécié ce que je vivais, je...
meurs en appréciant ce que j'ai vécu...
Trahison
ouvrir mes plaies j'ai...
fait de l'ombre à ma lumière j'ai...
ouvert mes yeux sur...
ce qu'on appelle "la vie", j'ai...
plongé dans ce gouffre qu'on appelle "tristesse" pour...
en sortir de nouveaux mots de tendresses, j'ai...
apprécié ce que je vivais, je...
meurs en appréciant ce que j'ai vécu...
Trahison
A MARIE
M’aime si je suis loin
M’aime si, m’aime si…
Je ne sais que faire, dire
Qui puisse te redonner
Le goût doux de la vie
Qui puisse te redonner
De l'espoir pour vivre
…Qui puisse me rassurer
Sur toi et ta vie
>
>
Non tu n’es pas folle,
Ce sont tes rêves si forts
Qui te tiennent compagnie
C’est ma main et mon âme
Que tu cherches, désespérée
C’est moi qui chaque nuit
Te rejoins
Car ton visage me hante
Ton regard doux et triste
Me ronge de remords
>
Et ta main dans la mienne
Furent comme se faire l’amour.
>
Je me sens fautif de ta détresse.
Cette détresse que tu portes
Est si lourde pour moi
Bien plus lourde sais-tu
Que tu ne l’imagines
>
Je sais ce que tu souhaites,
Hélas pour l’instant
Et pour combien de temps
Je ne peux que t’apporter
T’offrir, dérisoire soutien,
Que ma parole et mon écoute.
> Être sœur de frère même de cœur
Ne peut te satisfaire
>
Marie, je t’aime toujours
Malgré le gouffre immense
Qui nous sépare.
Je voudrais que tu me détestes
Pour que tu VIVES !
Et ce serait alors
Mon bonheur secret !
Marie n’abandonne rien.
Je ne suis rien qu’un salaud !
Je t'aime toujours
M’aime si, m’aime si…
Je ne sais que faire, dire
Qui puisse te redonner
Le goût doux de la vie
Qui puisse te redonner
De l'espoir pour vivre
…Qui puisse me rassurer
Sur toi et ta vie
>
>
Non tu n’es pas folle,
Ce sont tes rêves si forts
Qui te tiennent compagnie
C’est ma main et mon âme
Que tu cherches, désespérée
C’est moi qui chaque nuit
Te rejoins
Car ton visage me hante
Ton regard doux et triste
Me ronge de remords
>
Et ta main dans la mienne
Furent comme se faire l’amour.
>
Je me sens fautif de ta détresse.
Cette détresse que tu portes
Est si lourde pour moi
Bien plus lourde sais-tu
Que tu ne l’imagines
>
Je sais ce que tu souhaites,
Hélas pour l’instant
Et pour combien de temps
Je ne peux que t’apporter
T’offrir, dérisoire soutien,
Que ma parole et mon écoute.
> Être sœur de frère même de cœur
Ne peut te satisfaire
>
Marie, je t’aime toujours
Malgré le gouffre immense
Qui nous sépare.
Je voudrais que tu me détestes
Pour que tu VIVES !
Et ce serait alors
Mon bonheur secret !
Marie n’abandonne rien.
Je ne suis rien qu’un salaud !
Je t'aime toujours
SI
Si ses bras pouvaient être prison,
je demanderai au gardien
de m’y enfermer sans raison.
Si elle se réveille d’un frisson,
c’est que je cherche de mes mains
ce corps endormi, laissé à l’abandon.
,
Pour faire battre ce coeur surtout sans douleur
prendre ses mains, entrelacer nos doigts,
et lire dans nos yeux ce surcroît de bonheur.
Tant de choses à se confier,
tant de secrets entre toi et moi,
que seul l’être aimé, pourra l’apprécier.
Si ce compagnon pouvait-être, jamais plus ne se retournerai.
je demanderai au gardien
de m’y enfermer sans raison.
Si elle se réveille d’un frisson,
c’est que je cherche de mes mains
ce corps endormi, laissé à l’abandon.
,
Pour faire battre ce coeur surtout sans douleur
prendre ses mains, entrelacer nos doigts,
et lire dans nos yeux ce surcroît de bonheur.
Tant de choses à se confier,
tant de secrets entre toi et moi,
que seul l’être aimé, pourra l’apprécier.
Si ce compagnon pouvait-être, jamais plus ne se retournerai.
A MARIE
marie
Sur ces terres à perte de vue,
J’ai mes mains qui tremblent, mon cœur est mis à nu,
On m’a volé ma vie, on ma déchiré mon âme,
On m’a enlevé ma famille, il ne me reste que des larmes.
J’ai la rage qui me mange, la vie qui me brûle,
Le désespoir ne m’aura pas, je partirai au crépuscule,
Blessé par la guerre, je marcherai jusque là-bas,
Oui je trouverai, le monde auquel je n’ai pas droit.
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Comment des frontières pourtant imaginaires,
Arrivaient à encercler et à emprisonner la misère.
Et tandis que mes pieds traçaient ma destinée,
Que seule la lumière était entrain de me guider,
Je ne pensais pas qu’une simple barrière pourrait m’arrêter,
De toute évidence, le bleu du ciel m’avait voilé la vérité.
Et je me souviens, de ces gens, je me rappelle,
De toutes leurs paroles qui me paraissaient si réelles,
De toutes leurs histoires sur une contrée parallèle,
Ou
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Nous avons tous la même terre, et un cœur du côté droit,
Mais je sais que jamais nous n’aurons les mêmes droits.
Et j’ai repris mon chemin, survivant aux contraintes du destin,
Au côté d’autres personnes qui lutaient pour un lendemain,
Maintenant ça ne sert plus à rien de s’arrêter et d’abandonner,
J’aurais tout le temps de me reposer quand la vie m’aura quitté.
Et quand à bout de force, l’inconnu est apparu,
Que je pensais avoir trouvé ce que j’ai toujours voulu,
Le bateau était trop plein et dans ma poche il n’y avait rien
Sur ces terres à perte de vue,
J’ai mes mains qui tremblent, mon cœur est mis à nu,
On m’a volé ma vie, on ma déchiré mon âme,
On m’a enlevé ma famille, il ne me reste que des larmes.
J’ai la rage qui me mange, la vie qui me brûle,
Le désespoir ne m’aura pas, je partirai au crépuscule,
Blessé par la guerre, je marcherai jusque là-bas,
Oui je trouverai, le monde auquel je n’ai pas droit.
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Comment des frontières pourtant imaginaires,
Arrivaient à encercler et à emprisonner la misère.
Et tandis que mes pieds traçaient ma destinée,
Que seule la lumière était entrain de me guider,
Je ne pensais pas qu’une simple barrière pourrait m’arrêter,
De toute évidence, le bleu du ciel m’avait voilé la vérité.
Et je me souviens, de ces gens, je me rappelle,
De toutes leurs paroles qui me paraissaient si réelles,
De toutes leurs histoires sur une contrée parallèle,
Ou
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Nous avons tous la même terre, et un cœur du côté droit,
Mais je sais que jamais nous n’aurons les mêmes droits.
Et j’ai repris mon chemin, survivant aux contraintes du destin,
Au côté d’autres personnes qui lutaient pour un lendemain,
Maintenant ça ne sert plus à rien de s’arrêter et d’abandonner,
J’aurais tout le temps de me reposer quand la vie m’aura quitté.
Et quand à bout de force, l’inconnu est apparu,
Que je pensais avoir trouvé ce que j’ai toujours voulu,
Le bateau était trop plein et dans ma poche il n’y avait rien
LA TENDRESSE SE MEURT
la tendresse se meurt
ce n'est pas son quart d'heure
elle a laissé le champ
à un vulgaire amant
elle ne connaît que l'âme
de deux corps réunis
mais n'a pas toute la flamme
de faux soupirs émis
la tendresse se meurt
ce n'est pas son quart d'heure
elle est restée dans l'ombre
c'est la nuit toute sombre
qui explose dans un sens
excluant sa présence
mais elle est toujours là
éternelle en émoi
la tendresse se meurt
ce n'est pas toute son heure
mais quand elle sera là
tout d'elle s'imposera
ce n'est pas son quart d'heure
elle a laissé le champ
à un vulgaire amant
elle ne connaît que l'âme
de deux corps réunis
mais n'a pas toute la flamme
de faux soupirs émis
la tendresse se meurt
ce n'est pas son quart d'heure
elle est restée dans l'ombre
c'est la nuit toute sombre
qui explose dans un sens
excluant sa présence
mais elle est toujours là
éternelle en émoi
la tendresse se meurt
ce n'est pas toute son heure
mais quand elle sera là
tout d'elle s'imposera
la rose
la rose
la rose d'un beau jour
caresse sans détour
la main qu'elle a choisi
et dans ses yeux on lit
une immense tendresse
un coeur plein d'allégresse
son visage est tourné
vers lui son bien-aimé
il la regarde droit
dans les yeux c'est son choix
car il veut désirer
un sourire partagé
il la serre dans ses bras
il l'étreint de ce pas
et elle fond contre lui
il lui dit tu me suis
la rose d'un beau jour
une fleur de l'amour
a trouvé là un nid
mais qui n'a pas de prix
il protège sa fleur
et lui donne chaleur
il lui donne son bras
il la guide à ses pas
la rose d'un beau jour
caresse sans détour
la main qu'elle a choisi
et dans ses yeux on lit
une immense tendresse
un coeur plein d'allégresse
son visage est tourné
vers lui son bien-aimé
il la regarde droit
dans les yeux c'est son choix
car il veut désirer
un sourire partagé
il la serre dans ses bras
il l'étreint de ce pas
et elle fond contre lui
il lui dit tu me suis
la rose d'un beau jour
une fleur de l'amour
a trouvé là un nid
mais qui n'a pas de prix
il protège sa fleur
et lui donne chaleur
il lui donne son bras
il la guide à ses pas
marie de RONSARD
Marie, qui voudrait votre beau nom tourner
Marie, qui voudrait votre beau nom tourner,
Il trouverait Aimer : aimez-moi donc, Marie,
Faites cela vers moi dont votre nom vous prie,
Votre amour ne se peut en meilleur lieu donner.
S'il vous plaît pour jamais un plaisir demener,
Aimez-moi, nous prendrons les plaisirs de la vie,
Pendus l'un l'autre au col, et jamais nulle envie
D'aimer en autre lieu ne nous pourra mener.
Si faut-il bien aimer au monde quelque chose :
Celui qui n'aime point, celui-là se propose
Une vie d'un Scythe, et ses jours veut passer
Sans goûter la douceur des douceurs la meilleure.
Eh, qu'est-il rien de doux sans Vénus ? las ! à l'heure
Que je n'aimerai point, puissé-je trépasser !
Marie, qui voudrait votre beau nom tourner,
Il trouverait Aimer : aimez-moi donc, Marie,
Faites cela vers moi dont votre nom vous prie,
Votre amour ne se peut en meilleur lieu donner.
S'il vous plaît pour jamais un plaisir demener,
Aimez-moi, nous prendrons les plaisirs de la vie,
Pendus l'un l'autre au col, et jamais nulle envie
D'aimer en autre lieu ne nous pourra mener.
Si faut-il bien aimer au monde quelque chose :
Celui qui n'aime point, celui-là se propose
Une vie d'un Scythe, et ses jours veut passer
Sans goûter la douceur des douceurs la meilleure.
Eh, qu'est-il rien de doux sans Vénus ? las ! à l'heure
Que je n'aimerai point, puissé-je trépasser !
dalaï LAMA
« La vie est aussi précieuse pour une créature
muette que pour l’homme. Tout comme
chacun désire le bonheur et craint la douleur,
il en est de même des autres créatures.» Le Dalaï-Lama
muette que pour l’homme. Tout comme
chacun désire le bonheur et craint la douleur,
il en est de même des autres créatures.» Le Dalaï-Lama
REVES
au réveil lui sourire tendrement
mouler mon corps dans sa chaleur
oser chuchoter des secrets discrètement
rendre chaque jour un peu plus lumineux
être toujours aux côtés de l'être aimé
usant du regard pétillant de mes yeux
ensemble affronter les déceptions
mêler nos coeurs à l'unisson
regarder dans la même direction
entendre frémir nos esprits silencieux
nouer nos mains d'un geste amoureux
toujours chanter la mélodie des gens heureux
c'est ainsi que je conçois une vie à deux
mais avant il faut apprendre à se connaître
a s'apprécier, à tolérer et se respecter au mieux
car chacun a un passé douloureux peut-être
mouler mon corps dans sa chaleur
oser chuchoter des secrets discrètement
rendre chaque jour un peu plus lumineux
être toujours aux côtés de l'être aimé
usant du regard pétillant de mes yeux
ensemble affronter les déceptions
mêler nos coeurs à l'unisson
regarder dans la même direction
entendre frémir nos esprits silencieux
nouer nos mains d'un geste amoureux
toujours chanter la mélodie des gens heureux
c'est ainsi que je conçois une vie à deux
mais avant il faut apprendre à se connaître
a s'apprécier, à tolérer et se respecter au mieux
car chacun a un passé douloureux peut-être
MIGNONNE
Mignonne, allons voir si l'arthrose
> > >
> > > > Qui ce matin tant m'ankylose
> > >
> > > > Depuis qu'a sonné mon réveil
> > >
> > > > Pour clore une nuit de sommeil
> > >
> > > > Aura perdu de sa vigueur
> > >
> > > > Après un footing d'un quart d’heure.
> > >
> > > > Las ! Voyez comme sont les choses,
> > >
> > > > Il faudrait que je me repose.
> > >
> > > > Mes maux, loin de se calmer
> > >
> > > > Las, las, ne cessent d'empirer.
> > >
> > > > Ô vraiment, marâtre nature
> > >
> > > > Avec l'âge la douleur perdure !
> > >
> > > > Donc, si vous m'en croyez, mignonne,
> > >
> > > > Tandis que votre âge fleuronne
> > >
> > > > En sa plus verte nouveauté
> > >
> > > > Avant que ne ternisse votre beauté,
> > >
> > > > Pour assouvir toutes envies
> > >
> > > > Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie !
> > >
> > > > Qui ce matin tant m'ankylose
> > >
> > > > Depuis qu'a sonné mon réveil
> > >
> > > > Pour clore une nuit de sommeil
> > >
> > > > Aura perdu de sa vigueur
> > >
> > > > Après un footing d'un quart d’heure.
> > >
> > > > Las ! Voyez comme sont les choses,
> > >
> > > > Il faudrait que je me repose.
> > >
> > > > Mes maux, loin de se calmer
> > >
> > > > Las, las, ne cessent d'empirer.
> > >
> > > > Ô vraiment, marâtre nature
> > >
> > > > Avec l'âge la douleur perdure !
> > >
> > > > Donc, si vous m'en croyez, mignonne,
> > >
> > > > Tandis que votre âge fleuronne
> > >
> > > > En sa plus verte nouveauté
> > >
> > > > Avant que ne ternisse votre beauté,
> > >
> > > > Pour assouvir toutes envies
> > >
> > > > Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie !
TENDRES CENDRES
Tendres cendres
Quelle joie
D’avoir écrit tout cela !
Ces mots vivants
Qui, malgré l’ignoble mort,
Traverseront les temps
Dans leurs éternels décors.
Quelle joie
D’avoir écrit pour toi !
De savoir que la dernière flamme
Qui me transformera en cendres
Crépitera comme la voix qui chuchote et qui réclame,
En me promettant que sur toi je pourrais toujours m’étendre
Quelle joie
D’avoir écrit tout cela !
Ces mots vivants
Qui, malgré l’ignoble mort,
Traverseront les temps
Dans leurs éternels décors.
Quelle joie
D’avoir écrit pour toi !
De savoir que la dernière flamme
Qui me transformera en cendres
Crépitera comme la voix qui chuchote et qui réclame,
En me promettant que sur toi je pourrais toujours m’étendre
J'ECOUTE
J’écoute
Près de la cascade j’écoute les ruisseaux
J’entends le jaillissement des eaux.
Près de la mer j’écoute la valse du bonheur
J’entends les vagues en choeur.
Dans la montagne j’écoute le silence de la neige éternelle
J’entends la voix de l’écho perpétuel.
À la campagne j’écoute des fleurs le parfum envoûtant
J’entends l’air des près verts et des champs.
À la ville j’écoute le chant des oiseaux des jardins
J’entends le murmure des arbres sur le chemin.
J’écoute dans un silence religieux
J’entends le langage du trésor de ces lieux
Pour percer le mystère du secret de Dieu.
..
Près de la cascade j’écoute les ruisseaux
J’entends le jaillissement des eaux.
Près de la mer j’écoute la valse du bonheur
J’entends les vagues en choeur.
Dans la montagne j’écoute le silence de la neige éternelle
J’entends la voix de l’écho perpétuel.
À la campagne j’écoute des fleurs le parfum envoûtant
J’entends l’air des près verts et des champs.
À la ville j’écoute le chant des oiseaux des jardins
J’entends le murmure des arbres sur le chemin.
J’écoute dans un silence religieux
J’entends le langage du trésor de ces lieux
Pour percer le mystère du secret de Dieu.
..
DANSEZ PETITES FLEURS
Dansez petites fleurs
Toutes en rond
En envoyant tant de douceur
Les papillons butineront.
Dansez petites roses
Toutes en rond
Avant que la nuit n’éclose
Les lilas applaudiront.
Dansez petites violettes
Toutes en rond
Avant que le jour ne s’émiette
Les coquelicots s’émerveilleront.
Dansez petites femmes
Toutes en rond
Avant la déclaration de leur flamme
Les messieurs chanteront.
Dansez mesdames, messieurs la croyance
Tous en rond
Avant que la mort n’entre dans la danse
Pour de bon.
..
Toutes en rond
En envoyant tant de douceur
Les papillons butineront.
Dansez petites roses
Toutes en rond
Avant que la nuit n’éclose
Les lilas applaudiront.
Dansez petites violettes
Toutes en rond
Avant que le jour ne s’émiette
Les coquelicots s’émerveilleront.
Dansez petites femmes
Toutes en rond
Avant la déclaration de leur flamme
Les messieurs chanteront.
Dansez mesdames, messieurs la croyance
Tous en rond
Avant que la mort n’entre dans la danse
Pour de bon.
..
LE TEMPS
"Le temps d'aimer"
Il était une fois une île sur laquelle vivait tous les feelings. La joie, la Peine, la Connaissance et tous les autres, incluant l'Amour.
Un jour, il fut annoncé que l'île allait sombrer bientôt, aussi tous les feelings préparèrent leur bateau et s'en allèrent.
L'Amour fut le seul qui resta car il voulait rester avec l'île jusqu'à ce que celle-ci sombre.
Lorsque l'Amour fut proche de sombrer, il demanda de l'aide…..La Richesse passa dans un magnifique bateau. L'Amour lui demanda "Richesse, veux-tu me prendre avec toi?". La Richesse lui répondit "je ne peux pas, mon bateau est rempli d'or et d'argent et il n'y a pas de place pour toi".
Alors l'Amour demanda à la Vanité qui passait par là: "Vanité s'il te plaît, aide moi, "je ne peux pas t'aider Amour, tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau" répondit la Vanité.
La Tristesse n'était pas loin, aussi l'Amour lui demanda "Tristesse, prends moi avec toi" "Oh non Amour…….je suis si triste que je préfère continuer seule…."La Joie passa ensuite, mais elle était tellement joyeuse qu'elle n'entendit même pas lorsque l'Amour l'appela.
Soudain, une voix parla: "Viens Amour, je vais te prendre avec moi" C'était un ancien, l'Amour était si content qu'il en oublia de lui demander son nom!
Lorsqu'ils furent arriver dans un pays sec, l'ancien poursuivit son chemin….L'Amour demanda alors à la Connaissance, un autre ancien, quel était le nom de celui qui l'avait aidé.
"C'était le Temps" répondit la Connaissance.
Le Temps ? Mais pourquoi m'a-t-il aidé" demanda l'Amour.
"Il n'y a que le temps qui peut comprendre combien grand et l'Amour" répondit la Connaissance.
La morale de cette histoire:
Prends le temps de réaliser ce qu'est l'Amour véritable…….
(Auteur inconnu. Traduction libre de l'anglais.)
Il était une fois une île sur laquelle vivait tous les feelings. La joie, la Peine, la Connaissance et tous les autres, incluant l'Amour.
Un jour, il fut annoncé que l'île allait sombrer bientôt, aussi tous les feelings préparèrent leur bateau et s'en allèrent.
L'Amour fut le seul qui resta car il voulait rester avec l'île jusqu'à ce que celle-ci sombre.
Lorsque l'Amour fut proche de sombrer, il demanda de l'aide…..La Richesse passa dans un magnifique bateau. L'Amour lui demanda "Richesse, veux-tu me prendre avec toi?". La Richesse lui répondit "je ne peux pas, mon bateau est rempli d'or et d'argent et il n'y a pas de place pour toi".
Alors l'Amour demanda à la Vanité qui passait par là: "Vanité s'il te plaît, aide moi, "je ne peux pas t'aider Amour, tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau" répondit la Vanité.
La Tristesse n'était pas loin, aussi l'Amour lui demanda "Tristesse, prends moi avec toi" "Oh non Amour…….je suis si triste que je préfère continuer seule…."La Joie passa ensuite, mais elle était tellement joyeuse qu'elle n'entendit même pas lorsque l'Amour l'appela.
Soudain, une voix parla: "Viens Amour, je vais te prendre avec moi" C'était un ancien, l'Amour était si content qu'il en oublia de lui demander son nom!
Lorsqu'ils furent arriver dans un pays sec, l'ancien poursuivit son chemin….L'Amour demanda alors à la Connaissance, un autre ancien, quel était le nom de celui qui l'avait aidé.
"C'était le Temps" répondit la Connaissance.
Le Temps ? Mais pourquoi m'a-t-il aidé" demanda l'Amour.
"Il n'y a que le temps qui peut comprendre combien grand et l'Amour" répondit la Connaissance.
La morale de cette histoire:
Prends le temps de réaliser ce qu'est l'Amour véritable…….
(Auteur inconnu. Traduction libre de l'anglais.)
lundi 14 novembre 2011
MAUDITE
Enchaînée…
Je suis enchaînée à cette vie,
Cette vie si maudite !
Je voudrais tellement m’en libérer,
Être libre et le rester !
Aller où bon me semble,
Faire des voyages,
Rencontrer des gens qui seraient comme moi,
Des gens qui, eux aussi,
En auraient marre de la vie !
C’est pour ça qu’il faut que je brise mes chaînes,
Car j’ai tant de haine
Cachée au fond de moi.
Mes sentiments se bousculent,
Il faut que je fasse le vide…
Je suis enchaînée à cette vie,
Cette vie si maudite !
Je voudrais tellement m’en libérer,
Être libre et le rester !
Aller où bon me semble,
Faire des voyages,
Rencontrer des gens qui seraient comme moi,
Des gens qui, eux aussi,
En auraient marre de la vie !
C’est pour ça qu’il faut que je brise mes chaînes,
Car j’ai tant de haine
Cachée au fond de moi.
Mes sentiments se bousculent,
Il faut que je fasse le vide…
ECHEC
Échec
Jouer avec la vie,
Avoir des envies.
Ne jamais avoir peur,
Ne jamais faire d’erreur.
Je ne peux pas continuer,
À faire ce que je fais.
Ma vie est un échec,
Tout comme moi d’ailleurs.
Je suis née sans le vouloir,
Maintenant, je ne veux plus y croire.
Je ne veux plus jouer,
Échec et mat
Jouer avec la vie,
Avoir des envies.
Ne jamais avoir peur,
Ne jamais faire d’erreur.
Je ne peux pas continuer,
À faire ce que je fais.
Ma vie est un échec,
Tout comme moi d’ailleurs.
Je suis née sans le vouloir,
Maintenant, je ne veux plus y croire.
Je ne veux plus jouer,
Échec et mat
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