lundi 30 avril 2012

tr: [tr: [les pères]]



> Message du 20/01/12 18:05
> de : "MarieMONNIER"
> à : augusto.fernandes@free.fr
> cc :
> objet : tr: [les pères]
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> pour te détendre un peu, sui tu ne la connais pas !!! bonne soirée
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> > Message du 28/11/11 17:44
> > de : "Marie MONNIER"
> > à : Augusto
> > objet : les pères
> >
> > Un petit bijou de texte
> >  Au Père Spicace,
> >  
> > Un grand malheur est arrivé à l'abbaye et j'ai la pénible mission de vous en faire part.Mardi soir, pendant que l'abbé Nédictine donnait les dernières grâces, l'abbé Quille perdit l'équilibre dans l'escalier et tomba inanimé dans les bras du Père Iscope.  Les révérends pères, en perdant l'abbé Quille, perdaient leur seul soutien. 
> > Un seul restait joyeux : le père Fide. 
> > Quant à l'abbé Tise, il n'y comprenait rien. Il aurait bien voulu que le saint Plet l'aide à comprendre ce qui s'était passé mais rien n'y fit. 
> > Après l'accident de l'abbé Quille, on alla chercher le Père Manganate et le Père Itoine, les deux médecins de l'abbaye.
> > Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci décéda peu après. 
> > Le lendemain fut donc célébrée son enterrement. Chacun fut appelé à l'abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage. 
> > La messe fût dite sur une musique de l'abbé Thoven. 
> > Le père Ocquet fut chargé du sermon et comme il n'y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du Père Choir.
> > A la fin de l'homélie, le Père Cepteur fit la quête et remit les dons ainsi recueillis à notre frère africain, l'abbé N'Pé. 
> > Après la messe, une grande discussion s'engagea pour le transport de la bière : l'abbé Canne et l'abbé Trave voulaient passer par les champs.
> >  Le Père Clus s'y opposa. 
> > L'abbé Casse en fut enchanté. 
> > Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre. 
> > Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits. 
> > Finalement on décida que, comme à l'accoutumée,
> > l'abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt. 
> > Devant la tombe creusée par le Père Forateur
> > et en l'absence du Père Missionnaire,
> > l'abbé Nédiction donna l'absolution.
> > Le Père Venche et l'abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe. Celle-ci fût recouverte d'une belle pierre tombale préparée par l'abbé Tonneuse. 
> > Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant.
> >  Le Père Pendiculaire était plié en deux de douleur et de chagrin.
> > L'abbé Vitré était lui aussi plein de larmes. 
> > La Mère Cédés , invitée pour l'occasion,
> > fermait la marche en compagnie du frère du Père Igord.
> > A l'arrivée, le Père Sil et l'abbé Chamelle préparèrent le repas tout en consultant les livres culinaires du saint Doux. 
> > Le Père Nod et le Père Collateur servirent à boire et chacun pût se remettre de ses émotions. 
> > Signé :
> >
> > L'abbé BICI
> >  
> > PS- amuse-toi bien à lire ce texte et bisous

>

>
adresse monimmar.marie@blogger.com

jeudi 26 avril 2012

JE N'LEUR RESSEMBLERAIT PAS

je n'leur ressemblerait pas
leur exemple est ancré là
je ressasse leur état
je ne ferai rien de de cela

contre vents et marées
je me bats chaque journée
grâce à eux, je suis forcée
de ne pas leur ressembler

je n'leur ressemblerai pas
malgré mes profonds émois
entre ceux qui ne voient pas
et l'égoïsme du "moi"

je n'aime pas ce qu'ils sont
leurs idées et leurs façons
puisque mon éducation
m'a appris l'opposition

mercredi 25 avril 2012

LES MOTS

LES MOTS D'AMOUR


De ces mots
qui sont vraiment tendres
ce sont des mots que l'on aime entendre

Ca peut être un beau poème
qui nous était destiné
où les mots je t'aime qu'on écrit sur le papier

on se sent comme envahi de tendresse
mais aussi surpris de cette allégress,
ce n'est pas tous les jours qu'on nous dit des mots d'amour

on sent vibrer notre coeur et nous joues prennent des couleurs
ces quelques mots, faut bien le dire,
nous font retrouver le sourire

l'on comprend et cest important
que l'amour n'est pas toujours apparent
il peut être présent

sans qu'on le sache tout l'temps
petits bonheurs qui seront des souvenirs,
des mots que souvent on n'ose dire




MON SOLEIL

Parfois mon ciel est tout ensoleillé


Ses rayons semblent même s’amuser

Tout à coup quand passe un nuage

Qui me le cache un peu au passage



Mais je vois encore mon ciel bleu

Et c’est ce qui me garde joyeux

Surtout quand un vent bien léger

Se permet de me caresser



Je ne crains jamais les orages

Ils ne sont que de passage

Le vent a tôt fait de me ramener

Mon beau ciel tout ensoleillé



Je ne crains pas ce vent qui rugit

Qui peut encore pleurer cette nuit

Si au matin il me ramène mon soleil

Ma journée sera des plus naturelles



Dans le chemin de vie qui m’est offert

On me donne plein de joies sur terre

Si on ne m’enlève jamais mon soleil

Je sais que ma vie sera toujours belle



Mon ciel c’est l’océan de mes pensées

C’est le plus beau moment de ma destinée

Et je te disais "entre nous pas question de s'aimer"



Tu m'as écoutée, et une autre tu as trouvé


Et à moi ton amie, tu viens me raconter


Ce grand amour, que tous les deux vous vivez


Je t'écoute parler, mais j'aurais le goût de pleurer


Car quand j'ai compris que je t'aimais


Déjà à l'autre, tu appartenais


De tous mes amis, c'est toi que je préférais


Mais je ne croyais pas, qu'un jour je t'aimerais


Et maintenant si je veux t'oublier


Je n'aurai pas le choix, il me faudra te quitter


J'aurai perdu l'ami que j'avais avant


Et l'amour que j'ai maintenant

Marie















L'OISEAU

J’admirais un jour le plumage


D’un bel oiseau dans le feuillage

Bien lisse, et très brillant

Comme on en voit que rarement



À voir le jaune de sa couleur

Il était sûrement un beau reproducteur

Puis, en le regardant je me disais

Il est comme les hommes, tout à fait



Cet oiseau veut impressionner

Il aime qu’on veuille le regarder

Jeune, il est un peu fanfaron

Il aime, créer de l’agitation



Plus tard, en prenant de l’âge

Il devient, juste un peu plus sage

Mais il sera toujours un prétendant

Sera aussi charmeur malgré les ans



Il rafraîchira toujours son image

Comme l’oiseau fait pour son plumage

Enfin, il demeurera toujours en vogue

Il y aura toujours des ornithologues



Texte Claude Marcel Breault