c'est beau
je sais qui je verrai en ouvrant les yeux
l'essentiel
nous savons....
j'ai aimé
mercredi 16 novembre 2011
TRAHISON
J'ai... fermé mes yeux pour...
ouvrir mes plaies j'ai...
fait de l'ombre à ma lumière j'ai...
ouvert mes yeux sur...
ce qu'on appelle "la vie", j'ai...
plongé dans ce gouffre qu'on appelle "tristesse" pour...
en sortir de nouveaux mots de tendresses, j'ai...
apprécié ce que je vivais, je...
meurs en appréciant ce que j'ai vécu...
Trahison
ouvrir mes plaies j'ai...
fait de l'ombre à ma lumière j'ai...
ouvert mes yeux sur...
ce qu'on appelle "la vie", j'ai...
plongé dans ce gouffre qu'on appelle "tristesse" pour...
en sortir de nouveaux mots de tendresses, j'ai...
apprécié ce que je vivais, je...
meurs en appréciant ce que j'ai vécu...
Trahison
A MARIE
M’aime si je suis loin
M’aime si, m’aime si…
Je ne sais que faire, dire
Qui puisse te redonner
Le goût doux de la vie
Qui puisse te redonner
De l'espoir pour vivre
…Qui puisse me rassurer
Sur toi et ta vie
>
>
Non tu n’es pas folle,
Ce sont tes rêves si forts
Qui te tiennent compagnie
C’est ma main et mon âme
Que tu cherches, désespérée
C’est moi qui chaque nuit
Te rejoins
Car ton visage me hante
Ton regard doux et triste
Me ronge de remords
>
Et ta main dans la mienne
Furent comme se faire l’amour.
>
Je me sens fautif de ta détresse.
Cette détresse que tu portes
Est si lourde pour moi
Bien plus lourde sais-tu
Que tu ne l’imagines
>
Je sais ce que tu souhaites,
Hélas pour l’instant
Et pour combien de temps
Je ne peux que t’apporter
T’offrir, dérisoire soutien,
Que ma parole et mon écoute.
> Être sœur de frère même de cœur
Ne peut te satisfaire
>
Marie, je t’aime toujours
Malgré le gouffre immense
Qui nous sépare.
Je voudrais que tu me détestes
Pour que tu VIVES !
Et ce serait alors
Mon bonheur secret !
Marie n’abandonne rien.
Je ne suis rien qu’un salaud !
Je t'aime toujours
M’aime si, m’aime si…
Je ne sais que faire, dire
Qui puisse te redonner
Le goût doux de la vie
Qui puisse te redonner
De l'espoir pour vivre
…Qui puisse me rassurer
Sur toi et ta vie
>
>
Non tu n’es pas folle,
Ce sont tes rêves si forts
Qui te tiennent compagnie
C’est ma main et mon âme
Que tu cherches, désespérée
C’est moi qui chaque nuit
Te rejoins
Car ton visage me hante
Ton regard doux et triste
Me ronge de remords
>
Et ta main dans la mienne
Furent comme se faire l’amour.
>
Je me sens fautif de ta détresse.
Cette détresse que tu portes
Est si lourde pour moi
Bien plus lourde sais-tu
Que tu ne l’imagines
>
Je sais ce que tu souhaites,
Hélas pour l’instant
Et pour combien de temps
Je ne peux que t’apporter
T’offrir, dérisoire soutien,
Que ma parole et mon écoute.
> Être sœur de frère même de cœur
Ne peut te satisfaire
>
Marie, je t’aime toujours
Malgré le gouffre immense
Qui nous sépare.
Je voudrais que tu me détestes
Pour que tu VIVES !
Et ce serait alors
Mon bonheur secret !
Marie n’abandonne rien.
Je ne suis rien qu’un salaud !
Je t'aime toujours
SI
Si ses bras pouvaient être prison,
je demanderai au gardien
de m’y enfermer sans raison.
Si elle se réveille d’un frisson,
c’est que je cherche de mes mains
ce corps endormi, laissé à l’abandon.
,
Pour faire battre ce coeur surtout sans douleur
prendre ses mains, entrelacer nos doigts,
et lire dans nos yeux ce surcroît de bonheur.
Tant de choses à se confier,
tant de secrets entre toi et moi,
que seul l’être aimé, pourra l’apprécier.
Si ce compagnon pouvait-être, jamais plus ne se retournerai.
je demanderai au gardien
de m’y enfermer sans raison.
Si elle se réveille d’un frisson,
c’est que je cherche de mes mains
ce corps endormi, laissé à l’abandon.
,
Pour faire battre ce coeur surtout sans douleur
prendre ses mains, entrelacer nos doigts,
et lire dans nos yeux ce surcroît de bonheur.
Tant de choses à se confier,
tant de secrets entre toi et moi,
que seul l’être aimé, pourra l’apprécier.
Si ce compagnon pouvait-être, jamais plus ne se retournerai.
A MARIE
marie
Sur ces terres à perte de vue,
J’ai mes mains qui tremblent, mon cœur est mis à nu,
On m’a volé ma vie, on ma déchiré mon âme,
On m’a enlevé ma famille, il ne me reste que des larmes.
J’ai la rage qui me mange, la vie qui me brûle,
Le désespoir ne m’aura pas, je partirai au crépuscule,
Blessé par la guerre, je marcherai jusque là-bas,
Oui je trouverai, le monde auquel je n’ai pas droit.
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Comment des frontières pourtant imaginaires,
Arrivaient à encercler et à emprisonner la misère.
Et tandis que mes pieds traçaient ma destinée,
Que seule la lumière était entrain de me guider,
Je ne pensais pas qu’une simple barrière pourrait m’arrêter,
De toute évidence, le bleu du ciel m’avait voilé la vérité.
Et je me souviens, de ces gens, je me rappelle,
De toutes leurs paroles qui me paraissaient si réelles,
De toutes leurs histoires sur une contrée parallèle,
Ou
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Nous avons tous la même terre, et un cœur du côté droit,
Mais je sais que jamais nous n’aurons les mêmes droits.
Et j’ai repris mon chemin, survivant aux contraintes du destin,
Au côté d’autres personnes qui lutaient pour un lendemain,
Maintenant ça ne sert plus à rien de s’arrêter et d’abandonner,
J’aurais tout le temps de me reposer quand la vie m’aura quitté.
Et quand à bout de force, l’inconnu est apparu,
Que je pensais avoir trouvé ce que j’ai toujours voulu,
Le bateau était trop plein et dans ma poche il n’y avait rien
Sur ces terres à perte de vue,
J’ai mes mains qui tremblent, mon cœur est mis à nu,
On m’a volé ma vie, on ma déchiré mon âme,
On m’a enlevé ma famille, il ne me reste que des larmes.
J’ai la rage qui me mange, la vie qui me brûle,
Le désespoir ne m’aura pas, je partirai au crépuscule,
Blessé par la guerre, je marcherai jusque là-bas,
Oui je trouverai, le monde auquel je n’ai pas droit.
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Comment des frontières pourtant imaginaires,
Arrivaient à encercler et à emprisonner la misère.
Et tandis que mes pieds traçaient ma destinée,
Que seule la lumière était entrain de me guider,
Je ne pensais pas qu’une simple barrière pourrait m’arrêter,
De toute évidence, le bleu du ciel m’avait voilé la vérité.
Et je me souviens, de ces gens, je me rappelle,
De toutes leurs paroles qui me paraissaient si réelles,
De toutes leurs histoires sur une contrée parallèle,
Ou
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Nous avons tous la même terre, et un cœur du côté droit,
Mais je sais que jamais nous n’aurons les mêmes droits.
Et j’ai repris mon chemin, survivant aux contraintes du destin,
Au côté d’autres personnes qui lutaient pour un lendemain,
Maintenant ça ne sert plus à rien de s’arrêter et d’abandonner,
J’aurais tout le temps de me reposer quand la vie m’aura quitté.
Et quand à bout de force, l’inconnu est apparu,
Que je pensais avoir trouvé ce que j’ai toujours voulu,
Le bateau était trop plein et dans ma poche il n’y avait rien
LA TENDRESSE SE MEURT
la tendresse se meurt
ce n'est pas son quart d'heure
elle a laissé le champ
à un vulgaire amant
elle ne connaît que l'âme
de deux corps réunis
mais n'a pas toute la flamme
de faux soupirs émis
la tendresse se meurt
ce n'est pas son quart d'heure
elle est restée dans l'ombre
c'est la nuit toute sombre
qui explose dans un sens
excluant sa présence
mais elle est toujours là
éternelle en émoi
la tendresse se meurt
ce n'est pas toute son heure
mais quand elle sera là
tout d'elle s'imposera
ce n'est pas son quart d'heure
elle a laissé le champ
à un vulgaire amant
elle ne connaît que l'âme
de deux corps réunis
mais n'a pas toute la flamme
de faux soupirs émis
la tendresse se meurt
ce n'est pas son quart d'heure
elle est restée dans l'ombre
c'est la nuit toute sombre
qui explose dans un sens
excluant sa présence
mais elle est toujours là
éternelle en émoi
la tendresse se meurt
ce n'est pas toute son heure
mais quand elle sera là
tout d'elle s'imposera
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