Entre Hobbes et Rousseau, notre COEUR balance ....
Si l'homme n'est qu'un loup pour l'homme, il devrait être doué de BIENVEILLANCE.
La conception selon laquelle l'homme est foncièrement mauvais n'est pas une doctrine chrétienne promue par le péché originel, mais une création récente. Hobbes en est l'un des théoriciens avec le "Leviathan". La gentillesse chrétienne, explique-t-il est une absurdité. Les hommes ne sont nullement faits à l'image de Dieu mais sont des animaux égoïstes qui ne cherchent que leur bien-être. Dans la richesse des nations" (1776), Adam Smith explique que l'économie repose sur un égoïsme nécessaire et juste : " Ce n'est pas de la bienveillance du boucher, du brasseur ou du boulanger que nous escomptons tirer notre diner, mais de l'attention qu'ils accordent à leur amour d'eux-mêmes".
En relisant tous ces textes, nous sommes frappés par cette vision qui impose l'homme comme un être mauvais, égoïste, et la société comme une jungle. Or nous sommes arrivés aujourd'hui à l'extrême de cette conception. Nos sociétés se fissurent de refuser de penser à un acte gratuit, la possibilité que l'amour ait est un sens qui dépasse la sphère de l'intime. Et pourtant, nous savons bien qu'aucun enseignant, médecin ou boulanger ne peut exercer véritablement son métier sans aimer les hommes, son travail et ce que son travail transforme? les choses qui l'entourent comme ses outils et, au fond, sans aimer le monde entier. A cette mécompréhension, une autre est liée qui la renforce : l'idée que l'amour, on l'éprouve ou non - et qu'à cela on ne peut rien. Or, toutes les recherches faites aujourd'hui, par exemple au Max planck Institute, le montrent l'amour, - aussi bien comme gentillesse, compassion, bonté ou sollicitude - s'apprend.
C'EST BIEN LA LE SENS PROFOND DES PRATIQUES DE BIENVEILLANCE AIMANTE .....(tiré d'un article de Fabrice Midal) écrivain-philosophe
sur le Web : WWW.ECOLE-OCCIDENTALE-MEDITATION. COM
mercredi 26 août 2015
samedi 15 août 2015
dimanche 9 août 2015
samedi 25 juillet 2015
mardi 14 juillet 2015
dimanche 12 juillet 2015
Rigoule pas, ci toi ki kask ! .....
J'ai un petit boulot peinard,
Je dors bien, je me lève tard,
Pas de rendement, pas d'horaire,
Pas de patron, pas d'actionnaires,
Je prêche à tort et à travers
Des couplets plus ou moins pervers,
Sans risque de me faire saquer,
Je suis l'Imam de la mosquée !
Pas besoin d'aller au turbin,
J'ai une douzaine de bambin
Et tous les mois grâce aux fistons
J'encaisse les allocations
J'suis un seigneur, j'suis un Imam,
J'ai le droit d'être polygame,
Et tous les soirs à la casbah
Je hisse les voiles sur le grand mat.
On me laisse faire mon p'tit biz'ness
Une femme et deux ou trois maîtresses
Ici c'est cool, c'est le bonheur,
J'ai le beurre et l'argent du beur !
J'suis un barbu, j'suis un notable,
Un protégé, un intouchable,
Et j'appelle mon avocat,
Dès qu'on pince mes femmes en Burqa.
Pendant que les Français turbinent
Pour nourrir toutes mes concubines,
Moi je me promène en djellaba
La France c'est beau comme là-bas !!!!
J'ai un petit boulot peinard,
Je dors bien, je me lève tard,
Pas de rendement, pas d'horaire,
Pas de patron, pas d'actionnaires,
Je prêche à tort et à travers
Des couplets plus ou moins pervers,
Sans risque de me faire saquer,
Je suis l'Imam de la mosquée !
Pas besoin d'aller au turbin,
J'ai une douzaine de bambin
Et tous les mois grâce aux fistons
J'encaisse les allocations
J'suis un seigneur, j'suis un Imam,
J'ai le droit d'être polygame,
Et tous les soirs à la casbah
Je hisse les voiles sur le grand mat.
On me laisse faire mon p'tit biz'ness
Une femme et deux ou trois maîtresses
Ici c'est cool, c'est le bonheur,
J'ai le beurre et l'argent du beur !
J'suis un barbu, j'suis un notable,
Un protégé, un intouchable,
Et j'appelle mon avocat,
Dès qu'on pince mes femmes en Burqa.
Pendant que les Français turbinent
Pour nourrir toutes mes concubines,
Moi je me promène en djellaba
La France c'est beau comme là-bas !!!!
mercredi 24 juin 2015
L'ABSENCE
c'est une chaise vide qui projette son ombre, le soir, devant la porte
C'est un dialogue suspendu qui ne connait pas de fin
C'est un regard perdu qui va à la rencontre de souvenirs heureux
C'est une larme au bord de la paupière, qui enfin, roule sur la joue
C'est une voix qui ne vous parvient plus
C'est un bruit de pas pressés qui ne foulent plus l'allée
C'est l'effluve d'un parfum frais qui ne flotte plus
C'est une place au bout de la table qui reste vide tous les jours
C'est un silence pesant qui accompagne le diner
C'est un anniversaire qu'on ne pourra plus jamais souhaiter
C'est un bonsoir, mon amour, qui reste sans réponse
C'est une main tremblante qui caresse le marbre froid d'une tombe
C'est un doigt léger qui effleure les contours d'un nom
C'est la peur d'oublier les êtres que l'on ne reverra jamais
C'est un dialogue suspendu qui ne connait pas de fin
C'est un regard perdu qui va à la rencontre de souvenirs heureux
C'est une larme au bord de la paupière, qui enfin, roule sur la joue
C'est une voix qui ne vous parvient plus
C'est un bruit de pas pressés qui ne foulent plus l'allée
C'est l'effluve d'un parfum frais qui ne flotte plus
C'est une place au bout de la table qui reste vide tous les jours
C'est un silence pesant qui accompagne le diner
C'est un anniversaire qu'on ne pourra plus jamais souhaiter
C'est un bonsoir, mon amour, qui reste sans réponse
C'est une main tremblante qui caresse le marbre froid d'une tombe
C'est un doigt léger qui effleure les contours d'un nom
C'est la peur d'oublier les êtres que l'on ne reverra jamais
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