Si ses bras pouvaient être prison,
je demanderai au gardien
de m’y enfermer sans raison.
Si elle se réveille d’un frisson,
c’est que je cherche de mes mains
ce corps endormi, laissé à l’abandon.
,
Pour faire battre ce coeur surtout sans douleur
prendre ses mains, entrelacer nos doigts,
et lire dans nos yeux ce surcroît de bonheur.
Tant de choses à se confier,
tant de secrets entre toi et moi,
que seul l’être aimé, pourra l’apprécier.
Si ce compagnon pouvait-être, jamais plus ne se retournerai.
mercredi 16 novembre 2011
A MARIE
marie
Sur ces terres à perte de vue,
J’ai mes mains qui tremblent, mon cœur est mis à nu,
On m’a volé ma vie, on ma déchiré mon âme,
On m’a enlevé ma famille, il ne me reste que des larmes.
J’ai la rage qui me mange, la vie qui me brûle,
Le désespoir ne m’aura pas, je partirai au crépuscule,
Blessé par la guerre, je marcherai jusque là-bas,
Oui je trouverai, le monde auquel je n’ai pas droit.
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Comment des frontières pourtant imaginaires,
Arrivaient à encercler et à emprisonner la misère.
Et tandis que mes pieds traçaient ma destinée,
Que seule la lumière était entrain de me guider,
Je ne pensais pas qu’une simple barrière pourrait m’arrêter,
De toute évidence, le bleu du ciel m’avait voilé la vérité.
Et je me souviens, de ces gens, je me rappelle,
De toutes leurs paroles qui me paraissaient si réelles,
De toutes leurs histoires sur une contrée parallèle,
Ou
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Nous avons tous la même terre, et un cœur du côté droit,
Mais je sais que jamais nous n’aurons les mêmes droits.
Et j’ai repris mon chemin, survivant aux contraintes du destin,
Au côté d’autres personnes qui lutaient pour un lendemain,
Maintenant ça ne sert plus à rien de s’arrêter et d’abandonner,
J’aurais tout le temps de me reposer quand la vie m’aura quitté.
Et quand à bout de force, l’inconnu est apparu,
Que je pensais avoir trouvé ce que j’ai toujours voulu,
Le bateau était trop plein et dans ma poche il n’y avait rien
Sur ces terres à perte de vue,
J’ai mes mains qui tremblent, mon cœur est mis à nu,
On m’a volé ma vie, on ma déchiré mon âme,
On m’a enlevé ma famille, il ne me reste que des larmes.
J’ai la rage qui me mange, la vie qui me brûle,
Le désespoir ne m’aura pas, je partirai au crépuscule,
Blessé par la guerre, je marcherai jusque là-bas,
Oui je trouverai, le monde auquel je n’ai pas droit.
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Comment des frontières pourtant imaginaires,
Arrivaient à encercler et à emprisonner la misère.
Et tandis que mes pieds traçaient ma destinée,
Que seule la lumière était entrain de me guider,
Je ne pensais pas qu’une simple barrière pourrait m’arrêter,
De toute évidence, le bleu du ciel m’avait voilé la vérité.
Et je me souviens, de ces gens, je me rappelle,
De toutes leurs paroles qui me paraissaient si réelles,
De toutes leurs histoires sur une contrée parallèle,
Ou
Et dans ma traversée je ne saisi toujours pas,
Même quand on me l’expliquait je ne comprenais pas,
Nous avons tous la même terre, et un cœur du côté droit,
Mais je sais que jamais nous n’aurons les mêmes droits.
Et j’ai repris mon chemin, survivant aux contraintes du destin,
Au côté d’autres personnes qui lutaient pour un lendemain,
Maintenant ça ne sert plus à rien de s’arrêter et d’abandonner,
J’aurais tout le temps de me reposer quand la vie m’aura quitté.
Et quand à bout de force, l’inconnu est apparu,
Que je pensais avoir trouvé ce que j’ai toujours voulu,
Le bateau était trop plein et dans ma poche il n’y avait rien
LA TENDRESSE SE MEURT
la tendresse se meurt
ce n'est pas son quart d'heure
elle a laissé le champ
à un vulgaire amant
elle ne connaît que l'âme
de deux corps réunis
mais n'a pas toute la flamme
de faux soupirs émis
la tendresse se meurt
ce n'est pas son quart d'heure
elle est restée dans l'ombre
c'est la nuit toute sombre
qui explose dans un sens
excluant sa présence
mais elle est toujours là
éternelle en émoi
la tendresse se meurt
ce n'est pas toute son heure
mais quand elle sera là
tout d'elle s'imposera
ce n'est pas son quart d'heure
elle a laissé le champ
à un vulgaire amant
elle ne connaît que l'âme
de deux corps réunis
mais n'a pas toute la flamme
de faux soupirs émis
la tendresse se meurt
ce n'est pas son quart d'heure
elle est restée dans l'ombre
c'est la nuit toute sombre
qui explose dans un sens
excluant sa présence
mais elle est toujours là
éternelle en émoi
la tendresse se meurt
ce n'est pas toute son heure
mais quand elle sera là
tout d'elle s'imposera
la rose
la rose
la rose d'un beau jour
caresse sans détour
la main qu'elle a choisi
et dans ses yeux on lit
une immense tendresse
un coeur plein d'allégresse
son visage est tourné
vers lui son bien-aimé
il la regarde droit
dans les yeux c'est son choix
car il veut désirer
un sourire partagé
il la serre dans ses bras
il l'étreint de ce pas
et elle fond contre lui
il lui dit tu me suis
la rose d'un beau jour
une fleur de l'amour
a trouvé là un nid
mais qui n'a pas de prix
il protège sa fleur
et lui donne chaleur
il lui donne son bras
il la guide à ses pas
la rose d'un beau jour
caresse sans détour
la main qu'elle a choisi
et dans ses yeux on lit
une immense tendresse
un coeur plein d'allégresse
son visage est tourné
vers lui son bien-aimé
il la regarde droit
dans les yeux c'est son choix
car il veut désirer
un sourire partagé
il la serre dans ses bras
il l'étreint de ce pas
et elle fond contre lui
il lui dit tu me suis
la rose d'un beau jour
une fleur de l'amour
a trouvé là un nid
mais qui n'a pas de prix
il protège sa fleur
et lui donne chaleur
il lui donne son bras
il la guide à ses pas
marie de RONSARD
Marie, qui voudrait votre beau nom tourner
Marie, qui voudrait votre beau nom tourner,
Il trouverait Aimer : aimez-moi donc, Marie,
Faites cela vers moi dont votre nom vous prie,
Votre amour ne se peut en meilleur lieu donner.
S'il vous plaît pour jamais un plaisir demener,
Aimez-moi, nous prendrons les plaisirs de la vie,
Pendus l'un l'autre au col, et jamais nulle envie
D'aimer en autre lieu ne nous pourra mener.
Si faut-il bien aimer au monde quelque chose :
Celui qui n'aime point, celui-là se propose
Une vie d'un Scythe, et ses jours veut passer
Sans goûter la douceur des douceurs la meilleure.
Eh, qu'est-il rien de doux sans Vénus ? las ! à l'heure
Que je n'aimerai point, puissé-je trépasser !
Marie, qui voudrait votre beau nom tourner,
Il trouverait Aimer : aimez-moi donc, Marie,
Faites cela vers moi dont votre nom vous prie,
Votre amour ne se peut en meilleur lieu donner.
S'il vous plaît pour jamais un plaisir demener,
Aimez-moi, nous prendrons les plaisirs de la vie,
Pendus l'un l'autre au col, et jamais nulle envie
D'aimer en autre lieu ne nous pourra mener.
Si faut-il bien aimer au monde quelque chose :
Celui qui n'aime point, celui-là se propose
Une vie d'un Scythe, et ses jours veut passer
Sans goûter la douceur des douceurs la meilleure.
Eh, qu'est-il rien de doux sans Vénus ? las ! à l'heure
Que je n'aimerai point, puissé-je trépasser !
dalaï LAMA
« La vie est aussi précieuse pour une créature
muette que pour l’homme. Tout comme
chacun désire le bonheur et craint la douleur,
il en est de même des autres créatures.» Le Dalaï-Lama
muette que pour l’homme. Tout comme
chacun désire le bonheur et craint la douleur,
il en est de même des autres créatures.» Le Dalaï-Lama
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